« En traîneau » : différence entre les versions
(Mise à jour de la vidéo, qui n'était plus visible.) |
(Le couplet 3 et 4 on été inversé pour respecter le chant.) |
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{{bis|Mais le ciel peu à peu se dévoile, | {{bis|Mais le ciel peu à peu se dévoile, | ||
Non, jamais le monde fut si beau.}}</poem> | Non, jamais le monde fut si beau.}}</poem> | ||
|<poem>Vole au ciel, vole chanson légère | |||
Le soleil vers lui t’emportera ; | |||
{{bis|Vers celui qui donne la lumière | |||
Et réchauffe le cœur de nos gars.}}</poem>}} | |||
|<poem>Dès le soir quand la nuit est rebelle | |<poem>Dès le soir quand la nuit est rebelle | ||
Mon cheval s’empresse au grand galop : | Mon cheval s’empresse au grand galop : | ||
{{bis|Mais mon cœur, lui, reste aussi fidèle, | {{bis|Mais mon cœur, lui, reste aussi fidèle, | ||
Non, jamais le monde fut si beau.}}</poem> | Non, jamais le monde fut si beau.}}</poem> | ||
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Version du 8 mai 2024 à 19:41
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Ce chant n'est probablement pas sous licence libre, et appartient à son auteur/éditeur et à ses ayants-droits. Ils doivent être précisés en tête d'article, de même que la licence. Utiliser la page de discussion pour en parler. |
Ce chant qui figure dans le répertoire scout, est l’adaptation du chant russe, Katioucha (ou Katyusha). Katioucha est un chant d'amour russe d'une jeune fille pour son amant parti au front, lié en particulier à la seconde guerre mondiale. L’origine de son adaptation en français est inconnue.
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1er couplet
Quand la neige a recouvert la plaine
Je prends mon cheval et mon traîneau
| Et mon chant s’élève à perdre haleine Non, jamais le monde fut si beau. |
bis |
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2e couplet
Au matin dans la brise glaciale
Je m’en vais au gré de mon traîneau
| Mais le ciel peu à peu se dévoile, Non, jamais le monde fut si beau. |
bis |
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3e couplet
Vole au ciel, vole chanson légère
Le soleil vers lui t’emportera ;
| Vers celui qui donne la lumière Et réchauffe le cœur de nos gars. |
bis |
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| Musique | M. Blanter | |
| Paroles | M. Isakovsky | |
| Écrit en | 1938 | |
| Licence | ||
Écouter 
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Dès le soir quand la nuit est rebelle
Mon cheval s’empresse au grand galop :
| Mais mon cœur, lui, reste aussi fidèle, Non, jamais le monde fut si beau. |
bis |
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